BURKINA FASO, UNE RÉVOLUTION
 Matinée des manifestations du 30 octobre 2014 à Ouagadougou, à quelques centaines de mètres de l'Assemblée nationale. Le bâtiment sera "pris" moins de trente minutes plus tard. |  Matinée des manifestations du 30 octobre 2014 à Ouagadougou, à quelques centaines de mètres de l'Assemblée nationale. Le bâtiment sera "pris" moins de trente minutes plus tard. |  Matinée des manifestations du 30 octobre 2014 à Ouagadougou, devant l'Assemblée nationale qui vient de tomber. |
|---|---|---|
 Matinée des manifestations du 30 octobre 2014 à Ouagadougou, devant l'Assemblée nationale qui vient de tomber. |  Matinée des manifestations du 30 octobre 2014 à Ouagadougou, devant l'Assemblée nationale qui vient de tomber. |  Matinée des manifestations du 30 octobre 2014 à Ouagadougou, devant l'Assemblée nationale qui vient de tomber. |
 Ouaga 2000 le 30 octobre 2014 en début d'après-midi. Les manifestations veulent marcher sur le palais présidentiel, mais ils sont stoppés par le régiment de sécurité présidentielle (RSP) qui a tiré sur des manifestants plus tôt dans la journée. Les militaires laisseront les manifestants avancer encore un peu avant d'emmener leurs porte-parole rencontrer Blaise Compaore. |  31 octobre 2014 : le lieutenant-colonel Isaac Zida vient d'annoncer le départ de Blaise Compaoré à la foule massée place de la Nation (et de la Révolution). Ici dans le camp Guillaume Ouedraogo avec Maître Guy-Hervé Kam, du mouvement Balais Citoyen, ils réfléchissent à la suite des événements. Quelques heures plus tard, le lieutenant Zida se proclamera chef de la transition. |  31 octobre 2014 : le lieutenant-colonel Isaac Zida se dirige vers la place de la Nation (et de la Révolution) pour proclamer la suspension de la Constitution. |
 31 octobre 2014 : le lieutenant-colonel Isaac Zida se dirige vers la place de la Nation (et de la Révolution) pour proclamer la suspension de la Constitution. |  1er novembre 2014 : ce qu'il reste de l'Assemblée nationale |  1er novembre 2014 : ce qu'il reste de l'Assemblée nationale |
 1er novembre 2014 : ce qu'il reste de l'Assemblée nationale |  La maison de François Compaore, le frère de l'ancien président, est investie par les Burkinabès qui récupèrent tout ce qu'ils peuvent. |
LE JOUR OÙ BLAISE COMPAORÉ A PERDU LA MAIN
Récit d'une journée de manifestations historiques au Burkina Faso
qui ont changé l'histoire du pays
Le Monde du 1er et 2 novembre 2014
QUAND LE COLONEL ZIDA A PRIS LE POUVOIR À OUAGADOUGOU
Comment tout s'est joué en quelques heures après l'annonce du départ de Blaise Compaoré
Le Monde, 1er novembre 2014
LES BURKINABÉS DÉTRUISENT LES SYMBOLES
DE L'ANCIEN RÉGIME
Le Monde du 4 novembre 2014
MAIS QUI EST LE MOGHO NABA?
Le lieutenant-colonel Zida, leader actuel du Burkina Faso, est allé saluer le Mogho Naba, le roi des Mossis, ce 4 novembre 2014. Il représente la plus haute autorité traditionnelle, et il était entouré des leaders religieux. Une visite importante, selon le protocole mossi, qui est l’ethnie du lieutenant-colonel Zida. Le royaume mossi s’est construit à la fin du XIIe siècle et représente aujourd'hui environ 50% de la population. Portrait de cette haute personnalité burkinabè.
Diffusé sur RFI le 5 novembre 2014
Copyright Maureen Grisot 2015